Comment je suis tombée dans la nutri

Depuis toute jeune, nous étions baignés par les repas en famille faits maison. Des plats sains, savoureux, variés. A l’époque j’étais une jeune fille dynamique et très sportive. Un corps sain et vif, aucun problème de poids.

Lorsque j’ai commencé à vivre seule tout en faisant mes études, j’ai dû non seulement apprendre à cuisiner mais aussi gérer les quantités. Cuisiner pour soi n’est pas si évident car les quantités ont l’air toutes petites et du coup, je cuisinais pour 2, voire 3. Mais au lieu de garder une partie pour le lunch du lendemain, et bien je mangeais l’entierté. Et puis, qui dit vivre seule, faire ses études, s’assumer, dit moins de temps pour le sport. Et pour couronner le tout, comme j’étais (et le suis toujours :-)) une gigantesque gourmande, surtout des saveurs sucrées… J’ai vu mon corps changer petit à petit et s’arrondir.

De là ce sont suivis des multitudes de régimes divers avec des pertes de poids mais surtout des reprises plus élevées. C’est finalement le but d’un régime : nous faire perdre de la masse musculaire en plus de la masse graisseuse et lorsqu’on reprend son alimentation et bien notre métabolisme n’est plus aussi efficace pour brûler la graisse car nous avons moins de muscles et s’ensuit un cercle vicieux difficile à gérer.

Lorsque j’ai découvert la nutrithérapie et que j’ai commencé à comprendre comment le corps fonctionne, ce qu’il a besoin et à quel moment, alors ma vie a changé. J’étais nettement moins dans une situation émotionnelle par rapport à la nourriture. Plus à l’écoute de mon corps et ses besoins. Sans faire régime, puisque ceux-ci ne fonctionnent pas, j’installe des bonnes habitudes alimentaires sur le long terme et tout doucement, je perds du poids mais cette fois-ci, durablement.

J’ai aussi accepté que j’ai la morphologie que j’ai, et qu’avoir le corps du jeune femme frêle serait tout simplement un rêve impossible à atteindre.

En plus, le fait de manger plus en accord avec mon corps, bio, local, de saison a allégé mon budget médecin et pharmacie car mon immunité s’est vue boostée. Lorsque j’ai la gorge qui picote, je prends de la vitamine C par exemple.

Une nouvelle route s’est donc ouverte. Je la propage déjà depuis quelques temps auprès de ma famille et en consultations ou conférences et j’adore !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Résoudre : *
18 ⁄ 9 =